Décodage des émotions
Selon André Charbonnier: les émotions vous guident vers vos objectifs. Vous vous en rapprochez, vous recevez une émotion positive ; vous vous en éloignez, vous recevez une émotion négative.
- Le message générique des émotions positives : « C’est bon pour toi, continue. » Sous-entendu : Tu es en train d’y arriver, modélise. Regarde comment tu t’y prends, de manière à pouvoir le reproduire.
- Le message générique des émotions négatives : « Tu es dans une situation indésirable, rectifie. »
- Si vous êtes dans une situation indésirable, vous n’avez que 3 solutions pour en sortir : accepter, améliorer, quitter. Si vous ne choisissez aucune des 3, il ne vous reste plus que… la plainte.
Je vous rappelle brièvement les étapes de l’intelligence émotionnelle (pour plus de précision, je vous renvoie au premier livre d’André Charbonnier « Plus de peurs que de mal »).
- Je réalise que je ressens une émotion (l’étape la plus compliquée car à cet instant, le mental veut vous interdire de reprendre le pouvoir) : laquelle ? C’est ici que je dois me dire « Je ressens » plutôt que « Je suis ».
- Je décode l’émotion selon ma propre situation
- Je me mets en empathie avec l’autre personne (s’il y a un tiers concerné, bien sûr). En vous mettant en empathie, vous ressentez ce que ressent l’autre. Si au début, vous n’y arrivez pas, demandez-vous ce qu’il ressent, réfléchissez. De cette manière, vous savez si l’autre est négatif envers vous, ou bien si c’est vous qui êtes victime d’une peur de type 2… C’est-à-dire que dans la réalité, vous n’êtes pas menacé.
- Je passe en pro action, tout d’abord, je pose la question : « Quel résultat veux-je obtenir ? » puis, je mets en œuvre l’action idoine pour l’obtenir, celle qui me convient le mieux, la plus efficace et qui apporte le plus d’amour sur Terre.
Facile, non? Alors, à vous de jouer !
Les émotions désagréables
- L’abandon : Je suis en train de perdre « maman = amour » ou « papa = sécurité ». Je suis au plus bas de l’échelle symbolique, je suis en danger de mort. Si je ressens cette émotion dans le présent, elle fait obligatoirement écho à une peur enfantine.
- L’aberration : Mon modèle du monde est menacé + injustice.
- L’accablement, l’abattement : Découragement + tristesse… voire impuissance.
- L’affolement : J’ai peur et je suis submergé ! Je suis face à une peur et mon mental n’est pas équipé pour la traiter, soit qu’elle m’est inconnue, soit qu’il y ait trop d’éléments à gérer en même temps.
- L’agacement, l’exaspération : Je suis en train de me faire envahir, soit physiquement (on mâche un chewing-gum dans mon oreille), soit symboliquement (quelqu’un me saoule de paroles ou est inquisiteur).
- L’amertume : tristesse + déception + ressentiment.
- L’anéantissement : Je contemple ma mort. Vous faites l’expérience de la mort au niveau symbolique, sans toutefois la traverser car votre mental vous retient au bord du gouffre.
- L’angoisse : L’angoisse n’est pas une émotion mais la rencontre de deux émotions… Plus précisément, la rencontre de deux forces : une partie de vous veut la liberté, l’autonomie, prendre son essor ; l’autre veut la sécurité (« Je veux les jupes de ma mère »). Au point de rencontre des deux, naît l’angoisse. Pour décoder le message de l’angoisse, vous devez prendre conscience de l’endroit où elle se « pose ». Vous avez une boule, ça « serre ». Cette boule apparaît dans un des chakras suivants : gorge (chakra de l’expression), poitrine (chakra du cœur), plexus (chakra de la puissance), ventre (chakra des émotions).
- Gorge : Une partie de moi veut exprimer (dire) Qui Elle Est Vraiment et l’autre croit qu’elle va être en danger si elle le fait.
- Poitrine : Une partie de moi veut exprimer l’amour (aimer et/ou être aimé) et l’autre croit qu’elle va être en danger si elle le fait.
- Plexus : Une partie de moi veut exprimer sa puissance et l’autre croit qu’elle va être en danger si elle le fait.
- Ventre : Une partie de moi veut exprimer ses émotions et l’autre croit qu’elle va être en danger si elle le fait.
- L’anxiété : J’ai l’appréhension d’un objet indéterminé, donc : appréhension + malaise.
- L’appréhension : J’ai peur par avance. Vous êtes-vous préparé pour affronter la situation à venir ?
- Le chagrin : Je suis dans une situation indésirable et les 4 solutions sont fermées (si je me plains, c’est que – par exemple – « maman = amour » sera mis à mal) et je pleure pour évacuer le stress (les larmes de chagrin n’ont pas la même composition que les larmes de joie ou d’oignons).
- La colère : 3 niveaux de message.
- Non, merci.
- Quelqu’un met à mal une de mes valeurs fondamentales.
- Quelqu’un veut prendre du pouvoir sur moi.
- La confusion : Je suis dans le coton, dans les limbes = Mon mental m’empêche de voir un mensonge = Je m’interdis de clarifier.
- La consternation : Incompréhension + stupeur + mépris
- La contrainte : Je suis emmené de force vers un autre objectif que le mien.
- La contrariété : J’ai la sensation qu’une force étrangère (extérieure à moi) m’éloigne de mon objectif ou s’y oppose.
- La culpabilité : Je mets à mal une de mes valeurs fondamentales… et j’ai la sensation de commettre l’irréparable.
- La déception : J’attendais mieux
- Le découragement : J’ai peur et je n’avance plus (contraire du courage : j’ai peur et j’avance quand même).
- Le dédain : Je juge l’autre indigne et je le trouve petit.
- Le dégoût : J’ai quelque chose en moi de malsain (= contre nature) que je dois sortir (vomir) – Je suis empoisonné. S’il n’y a pas la notion de malsain, vous êtes juste envahi – cf. agacement.
- Le dépit : Découragement + colère.
- Le désabusement : Désillusion + résignation.
- Le désarroi : J’ai conscience d’être dans une situation indésirable mais j’ignore quelle solution choisir (cf. confusion).
- Le désespoir : Je ne peux plus accepter l’inacceptable, je dois prendre une décision (espoir perverti) – Je ne plus croire à un (mon) objectif (espoir naturel).
- La désillusion : Je ne peux plus y croire (j’ai perdu mes illusions).
- La désolation : Je suis comme dans un paysage lunaire (ravagé, désolé) et du coup, j’ai perdu tous mes repères, mes bases de combativité.
- La détresse : SOS (Save Our Souls) ! Sauvez mon âme ! Vous n’avez plus aucun recours… C’est le moment de demander de l’aide.
- La dévalorisation : Je me compare et me juge inférieur à.
- Le doute : Je dois être curieux pour accéder à la vérité… ou bien je dois quitter.
- L’enfermement : Je me sens emprisonnée dans une situation et je ne trouve pas la clé pour en sortir.
- L’ennui : Mes buts ont été atteints ou l’extérieur ne me nourrit plus ; je dois me mettre en mouvement pour mettre en cohérence ce que je fais avec ce que je suis.
- L’étonnement : Je ne pensais pas cela possible.
- L’étouffement : cf. oppression
- L’étrangeté : J’ai la sensation d’être E.T. ou d’être en présence d’E.T. ; ce que je vis m’est étranger, ne rentre pas dans mon modèle du monde.
- L’exaspération : agacement + frustration + ras-le-bol
- L’exclusion : Je suis rejeté par quelqu’un dont j’attendais de la reconnaissance, je me sens banni du clan.
- La fascination : Je suis attiré par quelque chose de malsain (à moins que j’aie à faire à quelque chose de réellement extraordinaire). Malsain = contre nature. Vous êtes donc soumis à une attirance/répulsion.
- La fatalité (l’inéluctabilité) : « Je le savais ! » Je m’étais déjà préparé à subir ça = Je le mérite.
- La frustration : J’avais droit à plus (contrairement à la déception, je sais à « combien » j’avais droit).
- Le gâchis : Je manque mon objectif en détruisant les moyens mis en œuvre pour l’atteindre.
- La gêne : Je suis parasité pour atteindre mon objectif – 1) vis-à-vis de moi-même : Je ne respecte pas une de mes propres valeurs = je me sens gêné. 2) Vis-à-vis de quelqu’un d’autre : je me sens complice d’assister à cela (car c’est en contradiction avec une de mes valeurs).
- La haine : Supprime la menace !… = Tue-le !
- La honte : Mon intimité la plus profonde est mise à nu et je la juge indigne (indigne = un être humain ne fait pas ça).
- L’humiliation : J’ai la sensation que l’autre veut me rabaisser ou me détruire volontairement.
- L’horreur : mélange de peur terrible et de dégoût.
- L’ignorance : Je ne sais rien, je n’ai pas été enseigné.
- L’impatience : Une force me pousse à avancer. Le tout est de trouver le bon rythme.
- L’impuissance : Je suis dans une situation indésirable et accepter, améliorer et quitter sont fermés… Il ne me reste que la plainte.
- L’incapacité : Je dois me doter de nouveaux moyens.
- L’incompréhension (stupeur, sidération, tétanisation, « perdre pied ») : Mon univers bascule et je n’ai pas les clés pour décoder ce qui m’arrive. Mon mental refoule une (grosse) partie de la situation car sinon, je ne pourrais éviter de voir que « maman = pas amour » ou que « papa = pas sécurité ». Notez que le nom de l’émotion change avec l’intensité.
- L’incrédulité : Je suis face à un fonctionnement totalement irrespectueux de la Loi Symbolique et je ne peux accepter que l’autre puisse faire cela (« J’y crois pas ! »)
- L’indifférence : Je n’arrive pas à me connecter à mon Etre profond pour vraiment ressentir ce qu’il se passe. Ou : Ca me coule dessus comme l’eau sur les plumes d’un canard (j’ai dépassé).
- L’indignation : Je suis l’objet (ou le témoin) d’un comportement indigne ; indigne signifiant « un être humain ne fait pas cela dans de telles circonstances ».
- L’injustice : La Loi Symbolique n’est pas respectée (j’ai une « balance » en moi qui n’a rien à voir avec la loi réelle).
- L’inquiétude : Peur diffuse de l’avenir sans motif avéré, concret.
- L’insatisfaction : Mission non accomplie… Dois-je recommencer ou bien changer mon fusil d’épaule (sachant que faire plus de la même chose donne plus du même résultat) ?
- L’insécurité : Je ne suis pas protégé, alors que je devrais l’être. Souvent, c’est une situation symbolique qui fait écho à « papa = pas sécurité » (Ex : j’ai peur de ne pas pouvoir payer mes factures).
- L’intimidation : j’ai peur et je ne me sens pas de taille.
- L’irritation : Quelque chose de toxique franchit mes limites.
- La jalousie : J’ai peur de ne pas être à la hauteur de l’autre (si je suis un homme et que je suis jaloux de ma femme, j’ai peur qu’elle préfère un autre = j’ai une piètre estime de moi).
- La laideur : La beauté naturelle est cachée, dénaturée ou détériorée, (contraire de l’esthétisme). Nota. Il s’agit de la laideur et de l’esthétisme en tant que ressentis, pas en tant que jugement.
- La lassitude : Je suis dans une situation indésirable et j’ai choisi « accepter » par défaut. Votre corps vous dit d’améliorer ou de quitter. Il y a bien des chances que ce soit « quitter » car le plus souvent, vous avez déjà tenté d’améliorer (cf. ras-le-bol).
- Le manque : Je n’ai pas eu accès à quelque chose de fondamental et cela a créé un vide en moi.
- Le malaise : Quelqu’un ou quelque chose vient troubler mon bien-être mais je ne sais pas quoi = Je dois me mettre en contact avec ma petite voix car mon mental bloque l’information.
- Le mécontentement : Je m’éloigne de mon objectif.
- La mélancolie : Abattement dans une tonalité dépressive.
- Le mépris : Je juge l’autre indigne = il ne se comporte pas en être humain et ne mérite pas d’être considéré comme tel (c’est la pitié sans empathie).
- La morbidité : Je chasse la vie de mon être = je guette les symboles de vie pour les exclure de mon environnement.
- La négation : Je me sens nié, ma valeur est nulle (cf. exclusion, dévalorisation) : ma subjectivité est (re)niée.
- L’oppression : je suis empêché de respirer. Il convient de se souvenir que la respiration, c’est la vie. Il y a donc derrière ce message, le message plus profond : je suis empêché de vivre.
- La nostalgie : Je ressens ce qui a été et j’aimerais que cela revienne.
- L’orgueil : Je veux être (ou montrer) ce que je ne suis pas = besoin d’avoir raison ou de ne pas être pris en flagrant délit d’ignorance (éventuellement par moi-même).
- La panique : affolement + impuissance + incompréhension.
- La peine : J’ai la sensation que quelqu’un me trahit, ou j’ai la sensation de trahir quelqu’un.
- La perdition : cf. détresse.de
- La peur : Attention, danger ! (message « animal »). Attention, tu n’es pas prêt ! (message « social »).
- La pitié : Je suis en empathie avec l’autre (je ressens sa souffrance) et je juge son comportement indigne.
- La possessivité : Je considère que l’autre m’appartient et doit se conformer à ma volonté. Je prends le pouvoir sur l’autre car j’ai peur qu’il ne veuille pas de moi si je le laisse libre.
- La rage : Les émotions refoulées et accumulées, au premier rang desquelles la frustration, veulent sortir sous une grande pression. La cocotte minute menace d’exploser.
- La rancœur : Ressentiment + dégoût.
- La rancune : Je n’accepte pas mon ressentiment (= je ne fais rien mais je veux toujours me venger).
- Le ras-le-bol : J’acceptais alors que ce n’était pas la bonne solution, j’ai tenté sans succès d’améliorer, je dois quitter.
- Les regrets : Je veux refaire le film et changer la fin = je n’accepte pas ce qui est arrivé !
- Le rejet (je me sens rejeté) : je suis banni du clan.
- La répulsion : Sauve-toi ! Je dois identifier si c’est un programme par défaut qui s’ouvre, apportant la peur, ou si c’est ma petite voix qui me crie de me sortir de là.
- La résignation : Je suis d’accord pour accepter, bien que ce ne soit pas la solution.
- Le ressentiment : J’en veux à l’autre = « Si on te faisait ce que tu me fais subir, tu prendrais conscience et tu cesserais de me le faire. »
- La révolte : affranchis-toi ! (au sens de : esclave affranchi = qui peut s’appartenir).
- Le ridicule : Je mérite qu’on se moque de moi car je manifeste un comportement infantile.
- Le sacrifice : Je me renie moi-même pour plaire aux autres.
- La solitude : Je me sens seul au milieu des autres, je sens le manque de liens aux autres.
- La souffrance : J’ai mal au niveau symbolique (j’ai mal au niveau physique = la douleur).
- Le spleen : morosité soutenue par l’envie… Mélange d’amour et de peur, une force de lumière qui traverse une force sombre.
- La stupeur : Désolation + abattement.
- La terreur : Attention, danger de mort.
- La timidité : Je suis incapable de gérer la pression de la situation.
- La trahison : Celui qui devrait être mon ami, mon soutien, devient mon ennemi.
- Le trouble : Malaise + amour ou caractère sexuel (émoi).
- La tristesse : Il y a quelque chose que je dois laisser partir. Je suis dans une situation indésirable, améliorer et quitter sont fermés… Il ne me reste que accepter = Je dois faire mon deuil.
- La vexation (vexé) : Je me sens exclu + honte.
Les émotions agréables
- L’accomplissement : J’ai atteint mon objectif en exprimant Qui Je Suis Vraiment.
- L’admiration : J’ai trouvé mon modèle, je dois l’imiter.
- L’assurance : Je suis dans la foi et l’assertivité, j’accomplis tranquillement.
- Le bien-être : Rien ne me gêne.
- La compassion : Empathie + amour total (Je vois dans l’autre une âme en expérimentation… 0 jugement).
- La confiance : Je sais que je suis à même de mobiliser mes ressources.
- Le contentement : J’avance vers mon objectif.
- Le courage : J’ai peur et j’avance quand même.
- La curiosité : Il y a quelque chose à approfondir.
- L’amour avoir : Je veux être comblé par l’autre = je n’existe pas par moi-même !
- L’amour être : Je suis = je rayonne l’amour, sans condition.
- L’émerveillement : Je vois, je vis quelque chose de magique ; je suis en connexion avec le monde subtil.
- L’empathie : Je ressens ce que ressent l’autre car j’ai déjà ressenti les émotions qui traversent l’autre.
- L’enthousiasme : Fonce !
- L’envie : Avance, grandis !
- L’épanouissement : Je suis en train de devenir moi-même.
- L’espoir (en tant que moyen) : J’ai conscience de mon objectif, j’ai confiance dans ma capacité à l’atteindre… Je dois m’ouvrir des choix.
- L’espoir (perverti par la sécurité ou l’amour conditionnels et devenu un objectif) : J’accepte l’inacceptable (sa place serait plus dans les émotions négatives).
- L’esthétisme : Je vis le beau de la nature (Je vois, ressens Dieu dans ce que je regarde, entends, etc.).
- L’exaltation : J’entre dans un espace où je m’expanse ; je deviens plus « grand », je connecte un niveau supérieur en moi.
- L’excitation : J’anticipe le plaisir à venir.
- La fierté : Je veux être nommé, reconnu, admiré par l’autre (obligation d’un autre regard).
- La force : Je sens que je suis capable d’y arriver.
- La gratitude : Je suis en connexion avec ma mission de vie (la gratitude est le « merci » du Soi Supérieur).
- La joie : J’avance vers mon objectif, connecté à ma nature profonde. Je suis en connexion avec mon être le plus profond, avec Qui Je Suis Vraiment.
- La légèreté : Je me suis libéré du poids de mes mensonges.
- La motivation : Je me booste vers mon objectif.
- La paix, la sérénité : Je n’ai plus d’objectif, j’arrive au-delà des émotions.
- Le plaisir : Un ou plusieurs de mes sens sont flattés = mon mental est flatté (mais pas mon Soi ! « Le plaisir est le bonheur des fous et le bonheur est le plaisir des sages ») = Je satisfais mon mental.
- Le réconfort : Je suis soutenu, aidé par un élément extérieur (chose, être – animal par ex. – ou personne) pour sortir d’une situation indésirable = Soulagement + sensation d’être aimé.
- La reconnaissance (de l’autre envers moi) : Je me sens reconnu = Une identité m’est conférée (mon objectif est d’exister… et pour exister, je dois exister aux yeux de l’autre… Bref, j’ai un problème à régler).
- La reconnaissance (envers l’autre) : Merci + légitimité (je reconnais l’autre légitime).
- La satisfaction : Mission accomplie ! = J’ai atteint mon objectif.
- La sécurité : 0 menace !… = Là, je peux me ressourcer.
- Le soulagement : Ouf !… = Je sors d’une situation indésirable.